Blake Lawson rebelle - lieutenant
pseudo : absolæm. Messages : 43 aureus : 47 Date d'inscription : 01/04/2020
| Sujet: la glace et le sang ne pardonnent pas Mer 1 Avr - 22:19 | |
| Blake Lawson always being like snow : beautiful but cold Prénom + Nom :: De son nom d’adoption complet : Blake Quinn Davis-Lawson, il n’en accorde que peu d’importance. Si ses parents l’ont élevé pour qu’il soit fier de ce patronyme, il n’en reste pas moins qu’un simple enchainement de lettre, sans résonance particulière pour lui. Surnom:: Blaky pour certains, B pour d’autres. Il se fiche bien du nom qu’on l’affuble, du moment que l’on se souvient de son visage avant de rejoindre les enfers. Âge :: Trente et une années, qui lui ont semblé être une éternité, faites de peines, de solitudes et de brulantes froideurs interminables. Date & lieu de naissance :: Il ne connaît pas sa date, ni son lieu de naissance avec exactitude. Il sait simplement qu’il a été retrouvé sous le perron d’une église, un vingt et un décembre dans le quartier de Saint-Boniface, dans la ville de Winnipeg (MB, Canada), alors qu’il ne semblait avoir que quelques jours ou quelques heures (?)… Elle fait donc office de date officielle sur les papiers de son adoption. Origines & nationalité:: Mystère qui reste encore non élucidé, cette connaissance reste cependant pour lui d’une futilité sans pareille. Occupation:: Lieutenant des armées dissidentes aux côtés de Pandore Skywalker. Orientation sexuelle:: Les courbes gracieuses des femmes auront toujours un accès privilégié jusqu’à son cœur. Hétérosexuel, il ne s’est jamais véritablement posé la question, tellement cette réponse lui semblait évidente. Statut matrimonial:: Célibataire d’une prison de glace, son cœur ne semble ressentir que trop peu d’émotion. Parent divin:: Fils de Chioné, il apprenait plusieurs années après son arrivée au camp qu’il était également un descendant d’Enyo. Défaut mortel:: Si beaucoup pense que sa prétention sans borne aura un jour sa peau et jouant sur ce trait de caractère, afin de l'accentuer, il sait au fond de lui qu'il ne pourra jamais rien faire contre ses frères et soeurs, enfants de Chioné. Son attachement à ses racines, cette famille, aussi dysfonctionnelle qu'elle soit, pour cet orphelin est le seul espoir qui lui permet de rester en vie. Malgré tout. Groupe:: Rebels. Avatar & crédits:: Nick Bateman - NYMPHEAS
|
ARMES:: Un bō staff en bronze céleste qui se transforme en un simple pendentif qu'il porte en permanence autour de son cou. Cadeau de sa mère trois semaines après son arrivée au camp grec. Tandis que sa seconde arme est un bouclier qu'il porte sous forme d'anneau au majeur gauche et qui ne se déclenche qu'en cas de crainte et peur exacerbées. Cadeau de l'un de ses anciens amis enfant d'Hépahïstos, le pensant (selon ses dires): "sans crainte, contrairement à moi. De toute manière si tu déclenches ton bouclier, t'es déjà à moitié mort, c'est certain! Tu t'en sortiras toujours!"Pouvoirs:: transformation en brouillard (passif) - Il déteste ce pouvoir. Il lui donne l'impression d'être un lâche.. Il ne sait clairement pas quoi en faire.. Est-ce qu'il se transforme en brouillard dès qu'on l'attaque ? Oui ! Est-ce que cela comprends l'ensemble de son corps ? Il n'en sait rien ! Dès qu'on l'attaque, dès qu'un stress important survient il se transforme en brouillard. Que cela soit tout son corps ou l'ensemble, il n'en sait rien en avance... Il n'a pas encore compris le pourquoi du comment, ni même l'interêt d'un tel pouvoir. Mais il fait avec... Et clairement ça l'emmerde au possible ! cryogénésie (actif) - C'est la glace qu'est son domaine. Fils de la déesse de la neige et de l'hiver, il a hérité d'un don extrêmement particulier. L'enfant s'est toujours trouvé une affinité particulière avec la glace sans véritablement être en mesure de l'expliquer. Mais très rapidement les caractéristiques de sa mère se sont manifestées en lui. Il en en mesure de créer, de manipuler et contrôler mentalement la glace qu'il produit lui-même, ainsi que celle qui l'entoure. Très rapidement il s'est senti à l'aise avec ce pouvoir (qu'il pensait être le seul pendant très longtemps). Alors, il s'est entraîné. Longtemps. Autant avec ses frères et soeurs qu'avec les autres enfants de l'Olympes. Utilisant ses capacités intellectuelles et son ingéniosités pour détourner les différentes attaques. Mais bien évidement, tout ceci n'est pas sans conséquences... Même si ses créations durent longtemps et peuvent provoquer parfois des dégâts incomensurables, il doit toujours vérifier sa température corporelle. Car en effet, même si l'enfant de chioné se sent le mieux en hypothermie, une température pourrait lui être fatale... Et il l'a déjà frôlé. Il ne doit jamais descendre en dessous des 50 degrés fahrenheit, sinon il mourra quoi qu'il advienne. Ainsi, plus il puise dans ses pouvoirs et plus sa température corporelle descend... Et jamais, il ne pense (d'après les enfants d'apollon, d'asclépios, d'épione et d'hygie) survivre à une température inférieure. Capable pourtant de créer des murs de glace impénétrable, des pics à glace capable de pourfendre presque n'importe quoi, il se sent comme presque invincible lorsqu'il utilise ce pouvoir. Comme s'il était en mesure de canaliser les pouvoirs de sa mère... Simple hybris de cet être de chair et de sang mortel, suppose-t-il. aura intimidante (les personnes autour sont sur les nerfs, plus facilement apeurés) - pouvoir inné Anecdotes:: 1〉 Il y avait un petit papier l'accompagnant lorsqu'il a été retrouvé devant l'église de winnipeg déclarant ceci : "Enfant de l'hiver et bien malheureuse fortune,Cet enfant n'est pas né sous les meilleurs augures. Né le soir ténébreux et noir de la nouvelle lune, L'enfant du nom d'Oscar, devra affronter son futur. Quoi qu'il advienne, il est entre les bras du destin, Va mon fils, change les dés et soit l'instrument du bien. 2〉 Son père (adoptif) est un descendant du Révérend Deodat Lawson, clergé protestant impliqué et cité dans l'affaire des sorcières de Salem. Il a donc été élevé dans cet idéologie de la famille combattant de la mal, satan et tous ses acolytes païens depuis des siècles. 3〉 Il connait la bible par cœur. 4〉 Il a toujours été hyperactif et c'est ainsi qu'il s'est mis à la boxe, au karaté, ainsi qu'à l'équilibrisme et la jonglerie auprès de personne travaillant du cirque. 5〉 Diagnostiqué HP (haut potentiel), il n'a jamais cru qu'il pouvait être intelligent, notamment à cause de son TDAH et de son incapacité à resté attentif plus de 20 minutes à quelqu'un qui parle. 6〉 Il parle couramment, anglais, français et espagnol. 7〉 Depuis qu'il a quitté le camp grec, il récite très souvent des prière chrétienne qu'il a apprise en étant enfant et se signe, histoire de bien montrer son détachement avec les Olympiens. 8〉 Il adore le café et ne peut démarrer une journée sans deux bonnes tasses 9〉 Il lui arrive, de temps en temps d'aller espionner ses parents adoptifs, histoire de savoir s'ils vont bien et s'ils sont toujours en sécurité et pas trop malheureux sans leurs enfants. 10〉 On lui a toujours dit qu'il dégageait naturellement un parfum frais. Mais il n'a jamais su si c'était réel ou si les gens faisait simplement une association d'idée, comme si un enfant de chioné ne pouvait être autre chose que froid et dégager de la fraicheur. |
histoire J’ai toujours eu ce sentiment de ne pas être au bon endroit, dans la bonne vie. Comme si j’avais loupé un truc dès le départ, vous savez ? Ce sentiment qu’il y a quelque chose qui cloche, malgré toute la meilleure volonté du monde. Comme un léger grain de sable qui vient rendre la tâche compliquée, à cet engrenage pourtant si bien huilé. Dès le départ, d’ailleurs. Je n’étais pas le fils de mes parents. Juridiquement, oui. Mais biologiquement, génétiquement, non. J’avais été le premier enfant qu’ils adoptaient. Ce beau couple de religieux, qui donnaient tant de temps aux autres, qui faisait le bien autour d’eux, n’avait pas eu la chance d’être « béni du don de donner la vie ». Un malheur qui les avait toujours attristés, ainsi que leurs amis, famille et communauté, parce qu’ils « le méritaient tant, ce sont de bons chrétiens, des gens pieux… ! » Mais « Parfois la vie est injuste Blake, mais elle répond à la volonté de notre seigneur tout puissant et nous ne pouvons, ni même devons aller contre sa volonté » m’avait-elle (ma mère) dit un jour, sans contexte préalable. Lui (mon père) était un descendant de l’un des pasteurs ayant participé aux jugements terribles auprès des habitants de la ville de Salem. Elle, fille d’immigrés irlandais et catholiques, ce sont toujours très bien entendus. Dès les premiers instants. Comme deux âmes qui se retrouvaient. À n’en pas douter. Le couple parfait. Mais deux âmes, deux adultes incapables de concevoir des enfants. Alors, c’est lors d’une mission pour une paroisse, à côté de Winnipeg qu’il fut décidé que je deviendrais leur fils. Ils m’ont aimé. Ce n’était pas de mauvais parents. Ils ont fait de leur mieux... Mais j’ai toujours eu cette sensation qu’il me manquait quelque chose, sans véritablement être en mesure de mettre le doigt dessus. Et puis, alors que j’avais cinq ans, ils prirent la décision d’adopter un second enfant. Une fille. D’origine asiatique. Elle jurait avec le reste de la famille et pourtant elle a été ma meilleure amie dès que nous nous sommes rencontrés. On s’entendait à merveille. Nous avions le même âge, les mêmes idées, les mêmes centres d’intérêts. C’était, comme si nous avions toujours attendu de nous retrouver. Cela a fait le plaisir de nos parents... J’avais ce sentiment, qu’elle me comprenait vraiment, elle. Que nous avions tous les deux, ce petit truc qui… Nous démarquait tant. Et finalement, je n’avais pas tort. On est venu nous chercher. Une naïade. Une belle jeune fille. Elle ne semblait pas avoir d’âge et pourtant, pouvait parfaitement passer pour une de nos amis. C’était fou. C’était presque irréel, mais au fond de nous, nous savions que tout ce qu’elle nous racontait, tout ce qu’elle prenait le temps de nous annoncer minutieusement avait toujours fait partie de nous. C’était pour cela que nous nous étions si bien entendu, pour cela que nous avions l’impression de retrouver quelque chose d’aussi familier l’un dans l’autre. Nous venions du même monde et nous avions enfin trouvé une partie de notre maison, de notre foyer dans les yeux de cet autre enfant adopté, qui n’avait pourtant rien de familier dans les traits du visage. Elle nous avait donc conduit jusqu’à notre véritable demeure, celle qui nous avait toujours attendu et où l’on trouverait enfin un véritable sens à notre vie… Et quel sens. Une famille. Des frères et sœurs à n’en plus finir… C’était une explosion d’émotions douce et joyeuse, d’amour inconditionnel qui se produisait dans le cœur de l’enfant de la glace. Mais qui n’était rien en comparaison de sa rencontre avec Julian. Julian Brown, était un enfant qui étrangement lui ressemblait beaucoup. Trop. Beaucoup trop. Il s’agissait en vérité de son frère jumeau. Ils avaient été séparé à la naissance, élevé dans deux mondes et deux environnements différents, mais la vie, malicieuse et pernicieuse avait tout fait pour qu’ils se retrouvent. Que ces deux âmes sœurs, séparées depuis trop longtemps, ne fassent enfin plus qu’une. Ils se sont très vite trouvés, retrouvés. Une entente parfaite. Comme s’ils ne s’étaient jamais quittés. Ils s’aidèrent, échangèrent des conseils. Ils évoluaient ensemble dans ce monde qui était nouveau pour l’un, comme pour l’autre. Et puis ils prirent de plus en plus leurs aises. On leur faisait confiance. Les jumeaux de Chioné avaient une sacrée réputation, le plus souvent bonne. Ils étaient autant appréciés pour leur physique agréable, que pour leur efficacité au combat et dans les différentes activités. C’était ainsi, tel des enfants bénis des dieux, peu de choses ne semblaient leur résister (en tout cas en apparence). Et puis, un jour, il leur fit confié une mission. Leur première mission. Un accomplissement. Le rêve de toute une (seconde) vie. Ils étaient prêt. Depuis longtemps. Oui. Ils vaincraient. C’était certain. Tout c’était d’ailleurs déroulé (presque) à merveille durant les quinze premiers jours Jusqu’au moment où ils furent entourés par un troupeau d’empousa. Ces démones avaient attendues qu’ils soient fatigués, épuisés de leurs missions. Elles avaient patienté intelligemment, pendant que les demi-dieux se pensaient presque hors de danger. Cela fut un carnage. Elles étaient sans aucune pitié et les grecs durent rebrousser chemin. Sur la dizaine, six demi-dieux étaient décédés sur le coup, durant le combat. Deux autres, dont Julian, étaient grièvement blessé. Impossible de les transporter jusqu’au camp sans qu’ils ne risquent quoi que ce soit. La crainte, la peur, la tristesse et l’adrénaline… Ne faisaient pas bon ménage dans le centre névralgique et cognitif de Blake. Il n’avait que peu de connaissance médicale, mais il priait. Oh! Oui, il priait pour que ça mère répondre. Il faisait tout.. Tout ce qu'on lui avait apprit. Toujours. Tout le temps. Et tout en priant aussi durement, fortement sa mère, leur mère, ainsi que le reste des habitants de l’Olympe en mesure de l’aider. Il s’était toujours demandé comment il avait pu vivre sans lui jusqu’à son arrivée au camp… Il ne pouvait imaginer, aujourd’hui, un monde sans sa présence. Son calvaire dura quatre jour. Il souffrait. Il hurlait et les monstres continuaient d’attaquer le camp de fortune qu’ils avaient essayé d’installer, en attendant les renforts du camp. Il alternait entre bataille et combat à mort et surveillance des réactions de son frère à moitié comateux. L’inquiétude le bouffait. Plus que tout. Et toujours pas de signe de sa mère ou des autres dieux. Un sacrifice, puis un second… Presque toutes les douze heures (bien qu’il trouvait cela stupide, il était désespéré), il trouvait une idée encore plus originale, toujours plus importante, afin que le sacrifice soit accepté. Qu’on lui rende son frère. En forme. En vie. Le second était peut-être mort six heures auparavant, mais il ne pouvait pas envisager pareil destin pour son jumeau. Non… Surtout pas… Et puis une nouvelle attaque de monstre. Cela ne s’arrêtait plus. C’était comme s’ils s’étaient tous donnés le mot. Cela faisait maintenant presque trois quart d’heure qu’ils ne s’arrêtaient plus, lui donnant l’impression qu’il combattait depuis des heures entières… Il ne retrouvait plus son souffle et n’était plus capable d’utiliser ses pouvoirs (depuis longtemps déjà). Ses muscles tétanisés par l’adrénaline étaient sur le point de flancher. Il se voyait mourir, là. Maintenant, avec son frère. C’était sans doute mieux ainsi, finalement… Il fermait les yeux. À peine une demi-seconde. Parce qu’il n’en pouvait plus. Ils étaient rentrés au camp, lorsqu’il pu les rouvrir. La seconde équipe, les renforts étaient arrivés juste au moment où Blake venait de tomber dans les pommes. Ils avaient pu ramener tout le monde… Ou presque… Julian n’avait pas survécu et seul son corps gris et livide était revenu. Il ne pleurait pas. Mais son cœur loupait quelques contractions. Ils avaient tout fait pourtant. Julian aussi s’était battu. Bien plus que n’importe qui, mais on l’avait abandonné. Leur mère les avait abandonnés. Alors, il se renfermait. Encore plus. Le garçon qui habituellement souriait facilement, farceur et bon vivant, n’était qu’une image du passé. Un forcené de travail, aux sentiments inexistants et au sang de glace venait de le remplacer. Il n’était plus le même, parce qu’on l’avait obligé à changer. Sa mère l’avait abandonné, lui aussi, comme le reste des dieux. Ils n’avaient été que deux à revenir et aucun des parents divins n’avaient bouger le moindre petit doigt, pendant que leurs enfants se faisaient massacrer. La colère, l’injustice rongeaient son cœur bleuté de glace pilée. Il retrouvait ce sentiment, à nouveau. Celui du grain de sable. Celui de ne pas être en accord avec tout ce qui se passait dans sa vie. Alors, il changea. Pour son frère, pour tous les autres demi-dieux morts inutilement au combat, sous le regard de leurs parents, sans doute agréablement divertit par le spectacle de cette mort pseudo-glorieuse. Il rejoignait son ami Markus. Parce qu’il était temps que cela cesse. Que cette tyrannie Olympienne cesse et que les enfants de ces divinités sadiques, inactives et impuissantes, ne serrent plus de chair à canon. Il ne voulait plus. Il n’en pouvait plus. Et alors, lorsque le grain de sable disparaissait enfin après son départ du camp qui avait été pendant si longtemps sa maison, il comprenait qu’il était à la bonne place. Pour son frère. Pour ses frères et sœurs, il se battrait jusqu’au bout afin de les protéger et d’avoir gain de cause. toi, derrière l'écran.
| prénom/pseudo:: absolæm./Jo âge:: i'm old... région:: breton exilé au canada comment es-tu arrivé sur le forum ?:: je connais des gens des suggestions ?:: un petit mot pour la fin:: |
Dernière édition par Blake Lawson le Lun 4 Mai - 19:55, édité 15 fois | |
|